Rimini.
La rue qui nous mène à la mer est semblable à celle d’une grande banlieue de ville. Des marronniers, de part et d'autre de la rue qui regorge de luxueuses résidences. Les feuilles tombent déjà comme un signal. Il pleut sur Rimini, les plages privées se vident. Une journée qui sent la fin d'été, les corps se traînent avant que la pluie ne s'abatte vraiment... Un... Deux... Trois... Les parasols se plient, les transats aussi... Les surveillants finissent par tourner le dos à la mer pour se rendre compte que c'est la fin de la saison... Plus personne à surveiller. Ici, tout semble crier: il faut partir, la saison est terminée. L'été s'achève.
Lise.
Rimini.
La pluie nous a définitivement rattrapées. Une chape, lourde et grise, recouvre Rimini. Le départ de la fin de saison est lancé. Les plages privées sont presque mortes, usées, vidées par les torrents de touristes. Les valises ont été bouclées plus tôt, la gare déborde de vacanciers mouillés et pressés... À quoi bon rester ? Une station balnéaire sous la pluie c’est pire que l’enfer.
Anne.
1 septembre 2007
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire