1 août 2007

Jeudi 26 juillet 2007. Cecina…


Cecina.

Impossible d'accéder à la mer sans payer, ici il n'y a même plus de promenade. Sentiment d'emprisonnement. Tous les bars se juxtaposent pour former une muraille entre la mer et nous. Tout au bout, en sortie de ville, la pinède. Là, l'espace d'un instant la liberté revient. L'air se faufile entre les arbres. Déjeuner sur épines. Les traits de lumières accentuent l'alignement des arbres qui nous offrent leurs ombres... Isolées... Un temps... Un trait... Une respiration. Sans béton...

Lise.

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