11 août 2007

Du 27 au 31 juillet 2007. Rome...


Rome.

Des hordes de touristes... Et des rues désertées par les Romains... 35 à l'ombre, aucun geste possible sans dégouliner... La capitale italienne est un four. Première petite déviation de l'itinéraire pasolinien, mais oublier Rome, c'est comme passer un noël sans sapin, c'est un peu raté. Et Rome reste la ville de son coeur. Là encore j'ai les pieds poussiéreux, mais c'est de la poussière de plaisir.... (Ceux qui me connaissent savent que je passe de bonnes nuits! )
On s'est dit que monter en haut de la coupole de St Pierre ça nous protégerait, je sais pas si ça a marché mais en tout cas on s'est rendu compte qu'atteindre Dieu c'était pas facile, que ça demandait beaucoup de sueur, et finalement c'est pas trop pour nous....

Anne.


Rome.

C'est surprenant comme certains endroits nous donnent rapidement la sensation d'être chez nous. J'erre dans les rues presque désertes, les yeux remplis de ce qu'une grande ville peut offrir... Pas de Romains ou peu... La ville semble livrée aux hordes de touristes qui s'agglutinent devant la fontaine Trevi, s'enfournent dans les magasins. Le bitume fond sous nos pieds. Je pourrai poser mes bagages ici.

Lise.

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