Santa Marinella.
Encore une inaccessibilité à la mer, plus nous descendons vers le sud, plus les plages privées deviennent la normalité. Le long de la route des demeures luxueuses fond face à la mer.
Le soir, nous retrouvons Rome l'immense qui nous ouvre ses rues dans la fraîcheur d'une nuit d'été. Le vin nous enivre tandis que le vieux Giovanni Formaggi nous postillonne, faussement, au visage l'Hymne à l'amour. Il a un visage ingrat, le nez en patate et des yeux vides d'expression. Je cherche ses pupilles en vain. Je dois lui envoyer « Sous les ponts de Paris ». Nous courons pour rentrer avant le couvre-feu. Les bonnes soeurs, derrière leur porte verrouillée, nous attendent dans un havre d'air conditionné.
Lise.
Santa Marinella.
Pas grand-chose à dire.... Il y a des endroits qui n'évoquent rien, Santa Marinella sera ce point a ranger dans la case "rien a voir".
Anne.
11 août 2007
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