11 août 2007

Jeudi 02 août 2007. Ischia / Forio...


Ischia.

Ile bruyante, sorte de réunion pour riches touristes, débarqués pour la journée tentant d'effleurer, de toucher ce qu'ils n'auront jamais. Villas perchées dans la montagne dominant la baie. Ici, plus de Visconti, non, plus que des vieilles femmes toutes de marques vêtues, des enfants baignant dans un paradis doré.
En hauteur, les résidents se distinguent par leur sobriété, leur rudesse... Une vieille femme tente de se hisser dans le bus, les portes se referment. Elle pousse un cri puis se hisse.

Forio.

Une petite église domine la baie... Son blanc immaculé constelle l'horizon. Ici, loin de l'arrivée bruyante du port d'Ischia, une quiétude toute méditerranéenne. De quatorze à seize heures, tout s'arrête, le temps, les vies, les déambulations, les mouvements de corps sont induits par les rayons du soleil. Je transpire... Souffle tentant d'insuffler à mon corps une légèreté qu'il ne retrouvera que seize heures passées, je le sais. Une bonne soeur se faufile au milieu des vacanciers qui glissent vers la plage.

Lise.


Ischia/Forio.

« Le silence bien heureux de la solitude »… Je lis Ella Maillard, pas vraiment en osmose avec l'endroit...

Anne.

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